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06/09/2011

Suite de la biographie d'Edward Hopper

La pensée du jour : "Alors tu reviendras vers moi

Nous pourrons rire

Un espoir à peine indiqué

Sous le vent une plainte amère".

Pierre REVERDY

 

1920 : Première exposition personnelle au Whitney Studio Club de New York. A partir de 1920, il peint de plus en plus à l'huile.


1921 : Il participe à l'exposition annuelle du Whitney Studio Club de New York et il y exposera régulièrement jusqu'en 1925.

1923 : Il s'occupe du cours du soir de dessin au Whitney Studio Club de New York et réalise de nombreuses esquisses. Il réalise ses dernières eaux-fortes et commence à peindre régulièrement des aquarelles. Le Brooklyn Museum de New York achète son aquarelle The Mansard Roof.

1924 : Il épouse Josephine Nivison le 9 juillet.

En octobre, son exposition d'aquarelles à la galerie Frank K.M. Rehn remporte un tel succès qu'il peut quitter son emploi d'illustrateur.


1925 : Il se rend au Colorado et au Nouveau-Mexique où il peint des aquarelles.

1927 : Achat d'une automobile. Il va désormais beaucoup voyager en voiture à travers les Etats-Unis. De nombreuses œuvres voient le jour pendant ses voyages.

1928 : Il réalise sa dernière gravure, une pointe sèche : Portrait of Jo.

1930 : Il loue la maison d'un ami à Truro dans le Massachusetts. Il reviendra à Truro plusieurs fois et s'y fera construire une maison-atelier (1934) où il passera presque tous ses étés.


1932 : Il participe à la première Biennale du Whitney Museum of American Arts.

1933 : Exposition rétrospective au Museum of Modern Art de New York.


1934 : Exposition rétrospective à l'Arts Club de Chicago.

1941 : Voyage sur la côte ouest des Etats-Unis.

 

Commentaires

Toi ou moi

Endormi dans cette chambre
Il n'ose plus se réveiller
La peur ferme son rêve noir
Et ses membres
Ne peuvent plus le soutenir
Je t'abandonne il faut partir
Si l'on n'aime bien que soi-même
Je te laisse parce que je t'aime
Et qu'il faut encore marcher
Un jour nous nous retrouverons peut-être
Où se croisent les souvenirs
Où repassent les histoires d'autrefois
Alors tu reviendras vers moi
Nous pourrons rire
Un espoir à peine indiqué
Sous le vent une plainte amère
La voix qui pourrait me guider
A mon approche va se taire
Dans la rue bordée de chansons
Qui jaillissaient par les fenêtres
Au coin des dernières maisons
Nous nous regardions disparaître
P. Reverdy

Écrit par : Mademoiselle | 07/09/2011

"Le merveilleux n'est pas ici ou là, il est en face, toujours en face. Inutile de regarder ailleurs, ni plus haut ni plus bas" Pierre Reverdy.

Écrit par : Monsieur Müller | 07/09/2011

Merci, Mademoiselle, d'avoir noté ici l'intégralité de ce poème si beau ! Et bienvenue sur le Cabaret, car il me semble que tu es nouvelle ici !

Écrit par : Katell | 07/09/2011

Les commentaires sont fermés.