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18/12/2006

"A part ça tout va bien comme dit Schopenhauer"

Attention, cette semaine, du Schopenhauer, vous allez en avaler!! J'ai décidé de faire la semaine sur le brave Arthur! Après tout, dans les centres commerciaux, il y a bien des semaines asiatiques ou que sais-je encore?! Je trouve qu'il n'y a tout simplement pas assez de semaines Schopenhauer! Voici donc un petit résumé de sa vie, en trois volets, à suivre jusqu'à mercredi! Cette mini-biographie a été écrite par Pierre Hadot et sort, une fois de plus, tout droit du Dictionnaire des auteurs (Robert Laffont, Bouquins).

 

Arthur SCHOPENHAUER : philosophe allemand. Né à Dantzig le 22 février 1788 ; mort à Francfort-sur-le-Main le 4 septembre 1860. Le trait caractéristique de la vie de Schopenhauer, c’est la force et la rapidité avec laquelle sa vocation de philosophe, puis son système philosophique tout entier, se sont imposés à lui. Il écrira lui-même : « Il est remarquable que dès 1814 (ma vingt-septième année) tous les dogmes de mon système, même les secondaires, s’établissent ».

La vie de Schopenhauer se divise donc en deux périodes : la flambée impatiente de la jeunesse (1788-1818), qui aboutit à la production de l’œuvre de sa vie, Le monde comme Volonté et comme Représentation, ensuite l’effort long, ingrat, mais finalement couronné de succès, pour vaincre l’incompréhension totale de son époque vis-à-vis de sa pensée (1818-1860).

Son père, commerçant aux idées républicaines, qui avait choisi pour son fils le prénom d’Arthur parce qu’il est le même dans toutes les langues, voulait faire de lui un citoyen du monde, mais aussi un commerçant. Jusqu’à sa seizième année, Schopenhauer fait un véritable tour d’Europe : France, Angleterre, Suisse, Autriche, sud de l’Allemagne, notant ses impressions dans un Journal de voyage qui a été conservé. A la mort de son père (1805), il s’efforce de tenir la promesse qu’il lui a faite naguère, d’embrasser la carrière commerciale. Mais il ne réussit vraiment pas à y prendre goût. Sa mère, Johanna, l’avait laissé à Hambourg, et était partie à Weimar, emmenant sa fille Adèle. La mort de son mari lui donnait l’occasion de réaliser son rêve (!), tenir un salon littéraire, se lancer elle-même dans la littérature. Elle réussira : Goethe fréquentera son salon ; ses romans connaîtront le succès. Sur les conseils de Fernow, un familier de Goethe, Johanna permet à son fils d’entreprendre les études qu’il désire. Après une année au gymnase de Gotha, il s’inscrit donc en octobre 1809 à la Faculté de médecine de Göttingen. Il cherche encore sa voie, mais à partir de 1810, il s’oriente résolument vers la philosophie, sans jamais abandonner d’ailleurs les études d’histoire naturelle.

 

Et terminons par la pensée du jour : "L'amour! Alors on aime un appareil respiratoire, un tube digestif, des intestins, des organes d'évacuation, un nez qu'on mouche, une bouche qui mange, une odeur corporelle? Si on pensait à cela, comme on serait moins fou!", Paul Léautaud.

Pensez-y, vous qui vous pâmez en ce moment même pour je ne sais quel tube digestif qui, si ça se trouve, ne fonctionne même pas bien, ou pour tel ou tel nez qui dégouline piteusement!!!!!! Lisez plutôt Léautaud, tiens!!!! Bon, désolée, c'est mon côté "Nuit de la Samain" qui ressort!!! Finalement, je l'adore, cette chanson!!!!

Commentaires

Salut Cath ,

Voici une pensée du jour qui est un brutal raccourci qu'il faut actualiser en replaçant cet autre Arthur dans son époque. Selon lui le véritable sens de la vie réside dans les consolations offertes par l'ART, mais de l'art littéraire philosophique passéïste il ne faut point trop abuser !...

J'ai été victime ( doux euphémisme.. ) du fait de mon inculture en rapport au fonctionnement du cerveau et donc du monde psy, il y a de cela 27 ans, par un phénomène identique, à savoir : de la séduction de thérapeutes angoissé(e)s érigeant en dogme séctaire un concept en devenir, je parle du concept freudien.

A l'époque de Freud le scientifique Arago disait du train à vapeur qui roulait alors à 35 kms que les poumons des voyageurs allaient exploser, aujourd'hui il existe le TGV, je l'ai déjà pris, toi aussi et nous respirons toujours !...

Nous nous construisons par rapport à l'autre, dans la période dite : " phase de l'empreinte " , notion validée scientifiquement et pourtant toujours obscur pour certain(e)s ' soignants ' , donc en l'autre nous nous aimons pour partie, le reste relève de l'homéostasie !...

Attention à la dépression saisonnière, il est vrai qu'à la même période d'Arthur Schopenhauer il y avait aussi le philosophe danois Sören Kierkegaard, et je rappelle en tant que Doc* que celle-ci est pour beaucoup lié à la baisse de la luminosité saisonnière.

* valididé par le fait que j'ai srvécu à la psychiatrie ;-(

Ma prescription sera moins romantique il est vrai : faire des scéances de photothérapies ;-)

Écrit par : Le Doc.L | 18/12/2006

Je ne pense pas que la pensée du jour proposée ici soit un raccourci : Léautaud parlait comme ça, ces mots lui ressemblent bien, et on peut les prendre avec humour aussi!!! Je ne déprime absolument pas, pour ma part! Je n'aime pas particulièrement l'été et les "conneries de barbecues" qui vont avec cette saison!
Pour le reste, je ne vois pas bien où tu veux en venir, désolée!!!

Écrit par : Katell | 18/12/2006

Je ne veux en venir nul part : car je suis là, ici et maintenant !...

Écrit par : Le Doc. | 18/12/2006

Avec mon dico. édition de 1956 :

1) désolé : affligé* profondemment : mère désolée

* d'affliction : grand chagrin, douleur profonde

2) par exagér. : ennuyé, faché : je suis ennuyé de ne pouvoir vous accompagner

Une infirmière psychiatrique qui hélàs a changé de service me disait souvent cette phrase qui rejoint celle d'Arthur Schopenhauer :

" A par ça la vie est belle et c'est tant mieux "

1) Ne sois pas désolée car si le Doc t'as été utile ainsi qu'à Sam, à partir du moment où il a commencé à s'exprimer sur ton blog dans le sens inverse de ce qui fait le fondement de ta pensée tu as changé, tu es devenue distante en concerts bien sûr car c'est le seule lieu où nous nous sommes cotôyés.

Tu n'es pas ma mère et j'espère que tu en seras pleinement seras !...

2) je t'ai accompagné au festival du Chien à Plumes à la demande de Sam, ne sois pas ennuyée de ne pouvoir en retour m'accompagner, et faché tu l'es mais contre toi !...

Lorsque je passerai à Nancy je ne manquerai pas de venir vous rendre visite comme tu m'y as invité, te rappelles-tu ;-)

Bonne journée...

Le Doc

Écrit par : Le Doc. | 19/12/2006

Si je me regarde telle que dans "la pensée du jour", ben je suis hideuse et mal en point, et en plus ça sent pas bon !
Cela dit, en arrêtant de me focaliser sur cette "vision intime" de mon être, je ne trouve pas l'enveloppe terrible non plus.
Que faire ??? La situation est désespérée. Oinnnnn .....................

Écrit par : Tommie | 19/12/2006

Comme je l'ai écrit sur le site d'Hubert, difficilement car les forums Planète Thiefaine et Site officiel sont bugés, et ceci en réponse à un inconnu : il nous faut surtout remplacer l'inconnu* qui est nous !...

* pour moi ce n'est pas un inconnu car il est liè à la période de l'empreinte et je connais les inconnus qui m'ont si mal formaté

Écrit par : Le Doc. | 19/12/2006

Et toi tu parles comment Cath ?...

Écrit par : Le Doc. | 19/12/2006

Je crois que la seule façon de répondre à tout cela est encore le silence, je ne comprends rien à ce que tu m'écris, Doc! Je ne pense pas avoir changé d'attitude à ton égard. Bien sûr, tu pourras passer nous voir lorsque tu viendras à Nancy, et peut-être pourrons-nous alors discuter de tout cela de vive voix, ce qui me conviendrait mieux!

Écrit par : Katell | 19/12/2006

Petite précision utile : je ne suis fâchée contre personne! Je regrette que ce blog devienne un lieu d'empoignades. Je ne l'ai créé que pour en faire un espace de paix! Donc, si vraiment tu veux me faire des reproches, je suis prête à les "recevoir", Doc, mais pas ici!

Écrit par : Katell | 19/12/2006

Bonjour Cath ,

Tu viens de répondre à mon non-questionnement par ton dernier commentaire, c'est ce que j'avais bien antérieurement compris. Mais je voulais te le faire écrire, tu l'as fait et je t'en remercie.

Le silence n'ayant pas été complet de ce fait, ce qui est déjà un progrés car il aurait été une forme de - censure -, tout l'inverse de l'idée de départ d'internet.

Je n'écrirais dorénavant plus sur ton blog où toutefois tu as été impatiente et contente que j'y mette ma plume tout au début ( avant la venue de Tommie ).

Les forums ne te conviennent pas et j'en ai toujours comprends le pourquoi, en ce qui me concerne un blog consacré à une pensée figée ne m'intéresse pas de même, pensée des morts pour un espace de paix c'est un peu comme un cimetière.

Ce ne sont pas là des reproches, ce mot est de ton ressenti, c'est ton blog et il est est ta catharsis, maintenant que ceci est dit je m'efface de ton blog. Place à Tommie !...

Toutefois lorsque je viendrai à Nancy je ne manquerai pas de vous rendre visite.

Bonne journée...

Le Doc

Écrit par : Le Doc. | 19/12/2006

Désolée, mais je ne vois pas en quoi ma présence sur ce blog "joue" sur vos mésententes.
Je ne laisse que des coms qui ont un rapport avec les billets que poste Kat (exception faite de celui-ci), me sensurant même parfois pour ne pas soulever un sujet qui pourrait provoquer chez toi (Doc) tout débordement de haine et de préjugés.
J'ai eu ma dose (overdose) de critiques fort désagréables et injustes. Je n'ai pas un caractère belliqueux, donc je ne cherche pas les affrontements (d'ailleur pour s'affronter il faudrait être deux, et moi je ne suis pas candidate).
Si mes coms gènaient Kat elle me le dirait franchement et par respect pour son espace d'expression et de partage je m'en irais.
J'espère que ces "désaccords" entre Kat et toi ne sont pas dus à un agacement de ta part du simple fait de ma présence. Ce serait bien ridicule et injuste vis à vis de Kat.
C'est tout ce que j'ai à répondre à ton com qui me visait explicitement. Tu peux penser et écrire ce que tu voudras, me provoquer, me titiller, il n'y aura pas d'autre réponse. Le sujet est clos, comme je te l'avais dit sur le blog de JPADPS. Et toutes les vacheries infondées que tu balances sur moi sur les blogs et forums n'y changeront rien.
Si je gène les propriétaires des blogs, je pars. Si c'est toi que je gène, je ne peux rien faire.
Point final.

Écrit par : Tommie | 19/12/2006

No comment comme promis à Cath !...

Écrit par : Le Doc. | 19/12/2006

Excuse Cath mais c'est là mon dernier message, mon adresse E-mail : minos.le.nettoyeur@wanadoo.fr

Écrit par : Le Doc. | 19/12/2006

A part ça tout va bien !
Je t'embrasse Katell !

Écrit par : Evadné | 21/12/2006

A part ça tout va bien !
Je t'embrasse Katell !

Écrit par : Evadné | 21/12/2006

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