26/10/2006
J'y vais ou j'y vais pas?
La pensée du jour : "Mais quand sera-t-il minuit sur le monde? Il y a de fortes chances pour que nous ne le sachions qu'après le douzième coup. Toujours trop tard", Louis CALAFERTE.
Cela n'arrive qu'à moi : hier, une personne de mon entourage me téléphone : chaque année, elle participe aux Nuits de Champagne à Troyes. Elle me dit qu'il lui reste un billet pour le concert de Thiéfaine. J'en parle ensuite à ma moitié, qui me dit : "Mais vas-y!" Mon pauvre homme ne pourra pas m'accompagner, il a pris congé pour aller au Zénith le 17 novembre, ce qui est déjà bien. Mais moi... Mais moi... Je suis en vacances! Je pourrais donc aller à Troyes. Je trouve quelqu'un pour garder ma petite puce et le tour est joué. Bon, financièrement parlant, ce n'est pas raisonnable. Mais, en même temps, j'ai quelques réserves. A quoi bon en faire si je ne tape jamais dedans?! Bon, je réfléchis encore! Mettons tous les éléments dans la balance :
-Ce concert me ferait du bien après les semaines de stress que je viens de passer,
-La tournée d'Hubert s'achève et, bientôt, il ne me restera plus que les yeux pour pleurer,
-Je ne pars pas en vacances, je peux bien m'offrir quand même un petit "voyage pour les Galapagos",
-On n'a qu'une vie, flûte alors!
Finalement, je ne vois que des points positifs! Je crois que...
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25/10/2006
Encore une note : je ne peux pas attendre, c'est urgent, mais n'en oubliez pas pour autant la note sur Romain Gary!!!
« Le coquelicot de ta bouche effleure le grain de ma peau »… Je suppose que vous avez déjà entendu cette mignonne ritournelle sur les ondes. Thiéfaine disait que d’une façon générale, il trouvait que les chanteurs ne parlaient pas assez des mouches. Pour ma part, j’ai toujours pensé que rendre hommage aux coquelicots serait une excellente idée (les mouches et les coquelicots, ce n'est pas vraiment la même chose, mais je voulais seulement dire que moi aussi, je trouvais qu'un thème n'avait pas été suffisamment exploité dans la chanson!!) ! Je trouve ces fleurs formidables. Apparemment, Yves Jamait, l’auteur de la chanson « Le coquelicot », est du même avis que moi. Ce qu’il dit de ces fleurs, j’aurais voulu savoir l’exprimer. Voici :
« J’aime cette fleur, car c’est une fleur rebelle qu’on ne peut pas mettre en pot ni en bouquet ». Et de poursuivre : « J’aime le rouge du coquelicot, cette couleur étendard. Et puis, le coquelicot, c’est aussi le pavot et cela ressemble à un sexe de femme ». En ce qui me concerne, j’adore aussi rien que le mot. Co-que-li-cot. Cela se sirote tranquillement, cela chante dans le palais, cela danse sur la langue !
Bref… Cette chanson m’a conquise illico la première fois que je l’ai entendue. Un petit tour sur le site officiel d’Yves Jamait m’a également donné envie d’en savoir davantage… Un ami qui l’a vu en concert m’en a parlé, me disant que ce type était extrêmement touchant. Ce que je veux bien croire, après de nombreuses écoutes de l’album "Le coquelicot", que j’ai en ma possession depuis une semaine. Yves Jamait a tout ce que j’aime : une voix qui sent la galère, la cent treizième cigarette sans dormir, les errances nocturnes dans les rues désertes d'une quelconque ville, l’alcool, bref la vie…
L’album s’ouvre sur « Le coquelicot », justement. Ensuite, c’est « Qu’est-ce que tu fous ». « Bien sûr il doit être adorable, charmant et gracieux, et flatter tes atours. Quand moi, je suis là, misérable, imbécile et envieux, espérant ton retour ». Très belle chanson sur le pauvre amant délaissé… J’adore aussi « L’adieu merdeux ». « Des adieux, j’en connais pas d’heureux, mais le tien, c’est vraiment le plus merdeux » ! J’adore aussi « Passe ». Et puis « Le carrousel ». Et puis tout l’album, enfin ! « Testostérone émoi » me fait bien marrer ! On trouve, dans cet album, une très belle chanson sur Dijon . « Je te salue, ma belle Dijon, ô maîtresse burgonde ». Splendide ! Et puis il y a LA chanson, celle qui me fait chialer et que je ne peux pas écouter avant d’aller me mêler à la société, sinon ladite société m’enfermerait pour cause de trop grande sensibilité, voire sensiblerie. Ouais, je sais, je n’y peux rien ! Cette chanson, LA chanson, c’est « Vierzon ». Cela ressemble étrangement au « Nantes » de Barbara point de vue histoire, ou plutôt drame intime. C’est l’histoire d’un type aux allures de gavroche qui grandit sans son papa. Dans ma famille proche, quelqu’un a vécu une semblable histoire. Sauf que lui, c’est sans son papa et sans sa maman qu’il a grandi. Et quand je vois ce qu’il est devenu dans la vie, je n’ai qu’une envie, m’incliner et dire : « Putain, chapeau, papa » ! (Oui, éventuellement, je pourrais le dire sans le « putain », mais bon…)
Enfin, j'adore la bouille et l’allure d’Yves Jamait. Un béret sur la tête, l’œil vif, le sourire enfantin. Là encore, je m’incline !
Yves Jamait passe bientôt en concert dans ma ville. Je crois que cela tombera à point nommé, quelques semaines après le Zéntih d’Hubert, après lequel j’aurai besoin de me refaire une santé…
Et pour tous ceux que cela intéresse :
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Romain Gary : encore, je n'y peux rien, j'adore!
La pensée du jour : "Quel est ce sentiment qui vous étreint quand vous quittez des gens en bagnole et que vous les voyez rapetisser dans la plaine jusqu'à, finalement, disparaître? C'est le monde trop vaste qui nous pèse et c'est l'adieu", Jack KEROUAC, Sur la route.
Donc, aujourd'hui encore, je vous propose du Romain Gary. Il reste, je crois, mon écrivain préféré, mon chouchou dans la littérature!
Avant de commencer, deux petits mots : Doc, je ne sais pas si tu as vu que Nicohiva, dans "Alors, Montpellier?", te demandait ce que tu avais pensé du concert du 20 octobre. Eventuellement, si le coeur t'en dit, tu peux aller mettre ton grain de sel dans les commentaires qui font suite à cette note!
Autre chose : je ne pense pas venir au concert de Troyes. Je vais me raisonner et patienter jusqu'au 17 novembre, concert auquel je n'aurais pas pensé pouvoir assister. On a frôlé la catastrophe, l'affaire d'Etat, bref le drame : le 16 novembre, j'ai une réunion parents-profs. J'ai eu chaud aux fesses!!! Donc, vraiment, ce Zénith, je le vois comme le plus grand cadeau que 2006 pouvait me faire! Enfin, sur ce coup-là, 2006, ce fut ma moitié!!!
Un peu de Romain Gary :
« La barrière du langage, c’est quand deux types parlent la même langue. Plus moyen de se comprendre ».
« Je me suis toujours imaginé tous ceux que je rencontrais ou qui ont vécu près de moi. Pour un professionnel de l’imagination, c’est plus facile et cela vous évite de vous fatiguer. Vous ne perdez plus votre temps à essayer de connaître vos proches, à vous pencher sur eux, à leur prêter vraiment attention. Vous les inventez. Après, lorsque vous avez une surprise, vous leur en voulez terriblement : ils vous ont déçu. En somme, ils n’étaient pas dignes de votre talent ».
« Elle pleurait tellement que j’ai eu envie de pisser ».
« Je me suis fait un vrai malheur avec ce chien. Je me suis mis à l’aimer comme c’est pas permis ».
« Je crois que c’est les injustes qui dorment le mieux, parce qu’ils s’en foutent, alors que les justes ne peuvent pas fermer l’œil et se font du mauvais sang pour tout ».
« C’est toujours dans les yeux que les gens sont les plus tristes ».
« Les vrais croyants sont des personnes qui croient en Dieu, comme monsieur Hamil, qui me parlait de Dieu tout le temps et il m’expliquait que ce sont des choses qu’il faut apprendre quand on est jeune et qu’on est capable d’apprendre n’importe quoi ».
« Mais je tiens pas tellement à être heureux, je préfère encore la vie ».
« Madame Rosa dit que la vie peut être très belle mais qu’on ne l’a pas encore vraiment trouvée et qu’en attendant il faut bien vivre ».
« Je me suis mis à chialer mais je voyais bien que je parlais pour ne rien dire ».
« « J’en avais la chair de poule. Quand il vous arrive quelque chose de tellement bon que ça ne s’est jamais vu, sauf peut-être dans les temps légendaires, il faut se méfier, car on ne peut pas savoir ce que ça cache ».
« Je suis un autodidacte de l’angoisse ».
« Je crois que le temps était passé beaucoup plus qu’elle ne le sentait et dans ces cas il n’y a plus de correspondant au numéro que vous avez demandé ».
« Quand on aime comme on respire, ils prennent tous ça pour une maladie respiratoire ».
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23/10/2006
Histoire du soldat : suite
La pensée du jour : "Je porte des gris-gris au cou, des lunettes et une âme plus compliquée que des déclarations d'impôts", René FALLET.
Bon, alors, si j'ai bien compris, Sév attend avec impatience la suite des aventures du soldat Joseph! Je sens que je vais devoir mettre ici l'intégralité de l'Histoire du soldat! Cela ne me gêne pas! Nous en sommes déjà à la page 17, mine de rien, et la pièce n'en compte que 47! Donc, Sév, si tu veux "ton" Histoire du soldat en long, en large et en travers, c'est possible!
Voici la suite de ce que j'ai posté hier :
LE LECTEUR
A terme, à vue, cours des changes,
Bourse du samedi 31… Quel jour est-ce qu’on est ? on est un mercredi, le mercredi 28… C’est un livre qui est en avance.
C’est un livre qui dit les choses avant le temps, drôle ça !...
LE DIABLE
brusquement, après avoir inutilement essayé de jouer.
Dis donc, tu vas venir chez moi.
LE SOLDAT
Pour quoi faire ?
LE DIABLE, montrant le violon.
Tu ne vois pas ?
Je n’ai pas encore le coup.
Tu me donnes vite deux ou trois leçons
et je te ramène à la maison.
LE SOLDAT
Où est-ce que c’est ça, chez vous ?
LE DIABLE
Tout près d’ici, de tes côtés.
LE SOLDAT
C’est que je n’ai que quinze jours,
rien que quinze jours de congé.
LE DIABLE
Ce sera pour toi à peine un détour.
Et puis j’ai ma voiture : tu seras rendu plus vite qu’à pied.
LE SOLDAT
Et ma fiancée qui m’attend.
LE DIABLE
Puisque tu arriveras à temps…
LE SOLDAT
On sera logé ?
LE DIABLE
Logé, nourri, soigné, rafraîchi, dorloté,
ma voiture pour te ramener,
deux ou trois jours, un tout petit détour,
après quoi riche pour toujours…
LE SOLDAT
Qu’est-ce qu’on aura à manger ?
LE DIABLE
La cuisine est au beurre et de première qualité.
LE SOLDAT
On aura de quoi boire ?
LE DIABLE
Rien que du vin bouché.
LE SOLDAT
Et on aura de quoi fumer ?
LE DIABLE
Des cigares à bagues en papier doré.
Le rideau se baisse.
LE LECTEUR
Eh bien ! c’est comme vous voudrez.
C’est comme vous voudrez, je vous dis ;
et il a suivi le vieux chez lui,
qui se trouve avoir dit l’exacte vérité,
c’est-à-dire que Joseph a eu à boire et à manger,
et a été soigné comme il n’avait jamais été,
et montra au vieux à jouer
et le livre lui fut montré.
Deux jours valant bien le détour,
puis vint le matin du troisième jour.
Tout à coup, il vit le vieux qui entrait,
et le vieux lui dit : « Es-tu prêt ?
Mais d’abord as-tu bien dormi ? »
Et Joseph qui répond que oui.
« Et est-ce qu’on a tenu ce qu’on t’avait promis ? »
Et Joseph qui répond que oui.
« Alors tu es content ? » « Oh ! oui. » « Eh bien, dit le vieux, allons-y ! »
Ils montèrent dans la voiture, la voiture partit.
Mais tout à coup Joseph s’accroche des deux mains
au rebord en cuir des coussins ;
« Attention ! tiens-toi ! tiens-toi bien
c’est que mes chevaux vont bon train » ;
il voudrait se lever, il voudrait sauter, pas moyen ;
la calèche est montée en l’air,
elle prend le ciel en travers ;
« Es-tu content ? es-tu toujours content ? »
elle glisse en l’air au-dessus des champs,
combien de temps ? il n’y a plus de temps…
Musique. Airs de marche, comme au début de la première lecture.
Entre Denges et Denezy,
un soldat qui rentre au pays. A pris sa route à travers champs,
Va toujours et va plus avant…
Fin des airs de marche.
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22/10/2006
Histoire du soldat : "et je vois devant moi le diable en personne"
La petite pensée du jour : "Dès que nous sommes seuls, nous sommes des fous. Oui, le contrôle de nous-mêmes par nous-mêmes ne joue que soutenu par le contrôle que les autres nous imposent", François MAURIAC.
Reprenons l’Histoire du soldat là où nous l’avions laissée. Cette fois, le diable fait son apparition. Allez, lisez ses répliques en essayant d’imaginer la voix d’Hubert :
LE SOLDAT, accordant le violon.
On voit que c’est du bon marché,
il faut tout le temps l’accorder…
Le soldat se met à jouer. Musique. Petits airs au bord du ruisseau. Entre le diable. C’est un petit vieux qui tient à la main un filet à papillons. Tout à coup, il tombe en arrêt. La musique continue. Le diable s’approche du soldat par derrière. Fin de la musique.
LE DIABLE
Donnez-moi votre violon.
LE SOLDAT
Non !
LE DIABLE
Vendez-le-moi.
LE SOLDAT
Non !
LE DIABLE
posant son filet à papillons et prenant dans la main droite le livre qu’il a sous le bras gauche.
Changez-le-moi contre ce livre.
LE SOLDAT
Je ne sais pas lire.
LE DIABLE
Vous ne savez pas lire ? ça ne fait rien.
C’est un livre… on n’a pas besoin de savoir lire pour le lire.
C’est un livre, je vais vous dire,
Qui se lit tout seul ; il se lit pour vous.
On n’a qu’à l’ouvrir, on sait tout.
C’est un livre… c’est un coffre-fort…
On n’a qu’à l’ouvrir, on tire dehors…
Des titres !
Des billets !
DE L’OR !
LE SOLDAT
Faudrait me le montrer d’abord.
LE DIABLE
Je suis parfaitement d’accord.
Il tend le livre au soldat, qui se met à lire, bougeant les lèvres et suivant les lignes avec le doigt.
LE LECTEUR
A terme, à vue, cours des changes…
Pas moyen d’y rien comprendre.
LE SOLDAT
Je lis, c’est vrai, mais je ne comprends pas.
LE DIABLE
Essayez toujours, ça viendra.
LE SOLDAT
Et puis aussi, monsieur, si ce livre vaut tant d’argent, mon violon, à moi, il m’a coûté dix francs.
LE DIABLE
Ce que c’est quand même que l’honnêteté !
Elle va vous récompenser
en vous faisant faire une bonne affaire.
L’occasion n’est pas ordinaire.
Dites que oui, profitez-en…
LE SOLDAT
Oh ! bien, si vous y tenez tant !
Il donne le violon au diable et se met à lire dans le livre.
21:55 | Lien permanent | Commentaires (5)
Alors, Montpellier?!
Bonjour à tous,
Nicohiva, je me permets de te rappeler à ton devoir dominical : nous raconter le spendide concert de Montpellier!!!! Nous attendons ton récit avec impatience!
10:58 | Lien permanent | Commentaires (7)
21/10/2006
Charles Juliet encore
Oui, ce soir, encore un peu de Charles Juliet. Et, demain, promis, je reviens au sujet, avec une nouvelle note sur Histoire du soldat.
Avant Juliet, ces mots, touchants également : "La pensée que ce n'est pas moi qui ai inventé les roses m'est insupportable", Maïakovski.
Le texte qui va suivre est rempli d'espoir et d'une douce sérénité, je l'aime pour cela et parce que, par chance, je m'y reconnais depuis quelques années...
"Tu sors de la forêt. Les brouillards se sont dissipés. Tes blessures ont cicatrisé. Une force sereine t'habite. Sous ton oeil renouvelé, le monde a revêtu d'émouvantes couleurs. Tu as la conviction que tu ne connaîtras plus l'ennui, ni le dégoût, ni la haine de soi, ni l'épuisement, ni la détresse. Certes, le doute est là, mais tu n'as plus à le redouter. Car il a perdu le pouvoir de te démolir. D'arrêter ta main à l'instant où te vient le désir de prendre la plume. La parturition a duré de longues, d'interminables années, mais tu as fini par naître et pu enfin donner ton adhésion à la vie.
Depuis cette seconce naissance, tout ce à quoi tu aspirais mais qui te semblait à jamais interdit, s'est emparé de tes terres : la paix, la clarté, la confiance, la plénitude, une douceur humble et aimante. Parvenu désormais à proximité de la source, tu es apte à faire bon accueil au quotidien, à savourer l'instant, t'offrir à la rencontre. Et tu sais qu'en dépit des souffrances, des déceptions et des drames qu'elle charrie, tu sais maintenant de toutes les fibres de ton corps combien passionnante est la vie", Charles JULIET, Lambeaux.
23:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
Souriez, vous êtes fliqués!!!
Oui, carrément! Cette fois, l'heure est grave : une de mes collègues a laissé échapper, en présence d'une élève, deux ou trois mots au sujet de ce blog! La môme m'a tannée plusieurs fois pour avoir l'adresse de mon cabaret. Je lui ai d'abord expliqué qu'il était consacré à mon chanteur préféré, mais n'en ai pas dit davantage. L'ennui, c'est qu'en cherchant bien sur la toile, la môme en question est tombée sur le blog de JPADPS. Or, il se trouve que je suis dans les liens de cette même JPADPS. Comme je ne sais pas mentir, lorsque cette brave Sandra (c'est l'élève, et elle est très perspicace!) m'a demandé si par hasard je n'étais pas dans les liens de JPA, j'ai fini par avouer. Pourquoi m'a-t-elle posé cette maudite question?! Et voilà, maintenant, il ne nous reste plus qu'à nous tenir à carreau, je ne vais plus oser être moi-même!!!!!! Merci à la collègue qui m'a cafardée! Sandra, un conseil : tu ferais mieux de ne pas fréquenter ce lieu qui ne présente de toute façon aucun intérêt pour toi! Continue à écouter Sniper. Thiéfaine, c'est pour les grands! Non, je plaisante! Fais ce que tu veux, mais merci de ne parler de ce blog à aucun autre élève. Sinon, ton 19 de moyenne en allemand, tu peux lui dire adieu!!!
22:05 | Lien permanent | Commentaires (14)