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02/04/2007

31 mars encore

La pensée du jour : "Il n'y a rien de plus beau qu'une clef, tant qu'on ne sait pas ce qu'elle ouvre", Maurice MAETERLINCK.

 

Je viens de lire vos commentaires enthousiastes sous les différentes notes consacrées à notre réunion de samedi. Je suis contente d'entendre partout des échos positifs. Je pense que nous pourrions nous amuser chaque année à organiser un petit truc de ce genre! Qu'en dites-vous?

Ce soir, je vais remettre des photos de samedi sur le blog. L'album que j'ai créé hier est constitué de photos prises par Jean-Jacques (je voulais l'écrire quelque part, mais impossible de trouver la manip pour y parvenir, donc sachez que ces photos ne sont pas de moi). Celles que je vais mettre aujourd'hui ont été prises ou par Sam, ou par moi.

 

Au fait, Uther et Yoann, je suis désolée que vous n'ayez pas pu jouer tous les morceaux prévus. Vous en jouerez deux fois plus la prochaine fois, qu'en dites-vous?!!!

 

01/04/2007

Voilà, c'est fini...

La pensée du jour : "C'est une chose étrange à la fin que le monde

Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit", Louis ARAGON.

 

Bon, allez, malgré la fatigue, je me lance !
Alors, par où commencer pour raconter cet après-midi et cette soirée ?
Sam et moi sommes arrivés hier à la Maison du Délice vers 13 heures. Nous étions accompagnés de Jean-Jacques. A table, il y avait déjà le Doc, Sapq (qui nous a expliqué le mystère de ses initiales : « Sweet amanite phalloïde queen », mais oui, mais c’est bien sûr ! Comment avons-nous fait pour ne pas y penser ?!!), Tommie, Lilith051 et son copain (Jérôme), et Evadné. Il me semble que je n’oublie personne.

Voilà, nous avons cassé la croûte ensemble. Le temps a filé à vive allure jusqu’au début de la réunion. D’emblée, je l’ai bien sentie ! Alors que le matin encore, dans la voiture, j’avais de gros doutes (ma voix flanchait, je ne me sentais soudain plus très sûre d’avoir envie de m’infliger une telle torture, je suis quand même assez timide).

Nous avons installé les tables. Entre-temps, tout le monde était arrivé. Jean-Jacques a dit quelques mots, j’ai pris le relais. J’ai cité ce que Léo Ferré disait à propos de Thiéfaine et qui me semble extrêmement juste. Yoann et Uther ont chanté « Orphée nonante huit ».

Ensuite, j’ai présenté la vie et l’œuvre de Thiéfaine. En toute modestie, bien sûr. Je ne prétends pas tout savoir sur le sujet, loin s’en faut ! Ma voix se faisait rocailleuse par moments, mais j’ai quand même tenu bon !

Ensuite, JPA a pris la parole et nous a présenté, dans un vaste « exposé », les facettes germaniques de l’œuvre de Thiéfaine : les mots allemands, l’histoire et la littérature allemandes. Quelle maîtrise ! Elle vous fait ça comme une conférence, sans trop regarder ses notes ! Epatant !

Puis, ce fut au tour de Tommie de nous proposer sa réécriture très personnelle et pleine de sensibilité du texte « Syndrome albatros ». Tommie, tu as beau dire que tu ne maîtrises pas bien l’exercice qui consiste à parler en public, je crois que tout le monde s’accorde à penser que tu t’en es sortie avec brio !

Ensuite, Lilith est venue nous présenter « L’étranger dans la glace ». Elle nous a livré sa petite idée sur la question. Ah, Lilith, que tu es touchante ! Tu as toujours une larme prête à jaillir, je te reçois cinq sur cinq ! D’ailleurs, moi aussi, à plusieurs reprises, j’ai eu l’œil humide hier !

Jean-Jacques a ensuite lu à sa façon le texte de « Demain les kids ». Yoann gratouillait en même temps, ce que j’ai trouvé très agréable. Enfin, Jean-Jacques a donné le texte de « Redescente climatisée » à un monsieur de l’association « Rencontres européennes » (Philippe) et il nous l’a lu, à sa façon aussi. Il était intéressant d’entendre ces lectures, faites par des gens qui n’avaient aucune connaissance préalable des textes.

Je ne sais plus entre quelles interventions parlées Yoann et Uther ont chanté. Je sais quand même encore que c’est eux qui ont brillamment fermé le bal. Lorsqu’ils ont fait retentir les premiers accords de « La fille du coupeur de joints », tout le monde s’est déchaîné ! On se serait cru à un concert d’Hubert !!

Voilà. J’ai discuté avec quelques personnes de l’association « Rencontres européennes », et elles se sont montrées très enthousiastes. A côté de moi, une dame prenait des notes. A la fin, elle s’est exclamée « Et soudain j’ai si froid dans ma peau, mais c’est beau, ça ! » Eh oui !! Joël a conclu en disant qu’il comptait bien s’acheter un CD de Thiéfaine. Je crois qu’ils vont être plusieurs à se procurer très rapidement un album, et c’est une belle réussite. En aparté, Joël m’a dit que nous pouvions réitérer cette expérience l’année prochaine. Trois fois oui, mon capitaine !! Jean-Jacques nous a dit que nous pourrions faire connaître Thiéfaine par le biais de telles actions. Comme dirait Evadné, nous allons sans doute entamer très vite une tournée en province !!! Ben oui, après tout, pourquoi ne pas se pelotonner dans de doux rêves bien chauds ?!

Sincèrement, je ne vois pas une fausse note à ces retrouvailles ! La dame qui était assise à côté de moi m’a dit que l’on sentait à quel point nous étions tous passionnés par l’œuvre de Thiéfaine. Dans ce cas, si cela s’est vu, pari réussi !

Après avoir mis le feu à la « Maison du Délice » (on a beau dire, mais « La fille du coupeur de joints », cela a le don de réchauffer les ambiances !!), nous nous sommes retrouvés sur le trottoir, avec comme qui dirait une certaine réticence à nous quitter. Certains devaient partir, mais nous avons été quatorze à filer dans un autre restaurant. A la fin de la soirée, Sam a sorti sa guitare et nous avons chanté quelques petits morceaux !

Après le repas, nous avons été, cette fois, peut-être huit ou neuf à aller boire un dernier verre dans un café. Et voilà. Quand j’ai quitté tout ce petit monde, je ne brillais pas franchement. Pour moi, la magie a été telle que je me suis retrouvée dans la belle ambiance des concerts des derniers mois !

Je vous propose de remettre ça, je ne sais pas quand encore, mais j’y tiens !!!

 

La fête à Thiéfaine!

Pas le temps, ce matin, de vous conter par le menu la belle journée d'hier! Je me contenterai de mettre ici un petit montage réalisé par Jean-Jacques (voir album "La fête à Thiéfaine, 31 mars 2007"). Promis, ce soir, j'alimenterai comme il se doit cet album!
Franchement, je dois dire à tous ceux qui n'étaient pas là qu'ils ont loupé quelque chose de sensationnel!!!!!!!!! Je vous en dirai plus dès que je serai inspirée!

 

 

30/03/2007

Affiche 31 mars

Cette fois, nous y sommes presque! J'espère que ma voix n'aura pas complètement fichu le camp demain! Aujourd'hui, elle se contente de dérailler par moments! Pourvu que cela en reste là! J'ai juste l'impression d'avoir des lames de rasoir dans le gosier mais, à part ça, je suis en forme et ravie de retrouver les amis du blog et d'ailleurs, et de faire la connaissance de plein de personnes qui aiment la poésie!

Je vous présente aujourd'hui l'affiche que Jean-Jacques a réalisée pour nous faire un peu de pub. Pour que tout rentre sur le blog, j'ai dû y faire quelques modifications, notamment concernant le gros titre "Thiéfaine, poète rockeur" (c'est bien mieux en réalité!) et la photo de Thiéfaine. Mais ce que je mets sur le cabaret aujourd'hui vous donnera malgré tout une petite idée! Une très vague idée, plutôt : je viens de regarder le résultat. Il est bof! Mais qu'à cela ne tienne : je balance tout sur le blog, pour le plaisir, et pour la pub!!!!

 


 

L’ASSOCIATION

 RENCONTRES EUROPEENNES-EUROPOESIE

a le plaisir de vous convier à un après-midi avec  les amis  de

medium_scandale02_1024.2.jpgTHIEFAINE, POETE ROCKEUR

 

 

 

 

présenté par Katell et ses amis Rendez-vous : Le Samedi 31 mars 2007 à 14 heures 30

Restaurant Maison du Délice

11 bis rue Traversière 75012 Paris - M° Gare de Lyon - Bastille ( 01 43 41 29 05 entrée 5€ (donnant droit à une consommation) Contact : Joël Conte  È06 ...  Denise Jaillet ' 01 ...

 

29/03/2007

Unfake Shaton et Julie Carbonare au Vertigo hier soir

La pensée du jour : "Gloire à qui freine à mort de peur d'écrabouiller

Le hérisson perdu, le crapaud fourvoyé!", Georges BRASSENS.

 

Jolie surprise, hier soir, lorsque, parmi les attablés du Vertigo, Sam et moi avons aperçu un certain … Tony Carbonare ! Sam est allé vers lui, nous avons discuté un peu. Tony nous a présenté son frère, Alain, le fameux luthier. Tous deux étaient venus applaudir Julie (fille d’Alain) et Charlotte (fille de Tony).
C’est Charlotte Carbonare qui a ouvert la soirée, accompagnée de quatre musiciens. Le groupe s’appelle « Unfake Shaton », et je vous invite à le découvrir très vite (
www.unfakeshaton.over-blog.com). J’ai adoré. La voix de Charlotte m’a collé des frissons d’emblée ! J’avais parfois l’impression d’entendre la chanteuse des Cranberries. L’accompagnement musical m’a bottée aussi. Bref, tout y était !

Ensuite, c’est Julie qui est montée sur scène. Très belle voix aussi. Le répertoire de « Jul » oscille entre déconne et gravité, ce qui n’est pas pour me déplaire ! Et quand, comme moi, on voit du Thiéfaine partout, comment ne pas penser à lui lorsque Julie a chanté « Je reste à ma fenêtre à regarder passer vos pensées » ?!

J’ai bien aimé l’humour de la petite Julie : « Bon, on va faire vite, je veux absolument voir un truc à la télé, c’est dans une heure » ou encore : « Nous allons faire une reprise. C’est bien, les reprises, parce que si vous vous faites chier, on peut toujours se dire que ce n’est pas de notre faute » ! Et quelle reprise, mes amis ! « Ne la laisse pas tomber

Elle est si fragile

Etre une femme libérée

Tu sais c’est pas si facile » !!! Oui ! Mince, qui chantait ce truc quand j’avais onze ans ?!! Je n’ai pas détesté la version qu’en ont donnée Julie et ses musiciens!

Séquence émotion sur l’avant-dernière chanson, dans laquelle Julie a avoué ne pas être douée pour parler d’amour. Et bien, pour quelqu’un qui ne sait pas faire ce genre de choses, elle s’en sort plutôt pas mal !

Pour le dernier morceau, Julie a demandé à quelques personnes de venir la rejoindre sur scène : Tony et Alain ont évidemment été conviés. Julie a demandé s’il y avait des volontaires. Comme ce n’était pas la foule, elle a désigné un type à lunettes, qui s’est prêté de bonne grâce à ce petit jeu. Une seule fille a osé monter sur scène de son propre chef ! Et cela s’est terminé sur une chanson dont le refrain disait : « J’vais encore picoler jusqu’à gerber

J’vais passer la soirée dans les WC ». Ou peut-être faut-il mettre le passé ici : « J’ai encore picolé jusqu’à gerber », etc. Je ne saurais vous le dire ! Mais je pourrai vérifier cela bientôt, l’album ne devrait pas tarder à sortir.

Bref, deux jeunes filles pleines de fraîcheur, à aller écouter dès que vous en aurez l’occasion !

Je fais vite aujourd’hui, ce compte rendu n’est guère à la hauteur, mais je dois encore préparer quelques bricoles pour Paris. Je vais me faire une liste, je vais la commencer tout de suite, afin de ne rien oublier. Alors, je prends : mon topo tout pourri (je vous aurai prévenus !), la biographie écrite par Jean Théfaine, l’appareil photo, le caméscope. Sam va sans doute prendre sa guitare. Un accompagnateur de plus pour Yoann !

J'espère que je ne vais pas perdre ma voix d'ici samedi : l'atmosphère enfumée d'hier soir m'a ravagé la tuyauterie et je sens que c'est tout bizarre là-dedans, comme avant ... une extinction de voix!

 

28/03/2007

Julie Carbonare encore

La pensée du jour : "Gloire à qui n'ayant pas d'idéal sacro-saint

Se borne à ne pas trop emmerder ses voisins!", Georges BRASSENS.

 

Nous dépassons aujourd'hui les 10 000 visites! 10 000 mercis aux visiteurs de ce blog!!

 

Article paru hier, dans la rubrique « La femme du jour » de l’Est républicain :

Dans la famille Carbonare : Julie

Elevée dans une ambiance musicale multiple, elle ne pouvait que faire carrière. Le disque est pour bientôt.

D’abord Alain, le père, luthier réputé sur la place de Mirecourt. L’oncle, ensuite, longtemps manager d’Hubert-Félix Thiéfaine après l’avoir accompagné à ses débuts avec Machin… Son groupe qui vient de reprendre du service pour le fun et multiplie de nouveau les concerts. Le nom des Carbonare continue de résonner dans le monde de la musique. Une histoire qui dure depuis des décennies maintenant et va donc se poursuivre un bon moment encore avec Julie pour qui les choses commencent à sérieusement bouger.

Trio électrique

Dans son passé, il y a des groupes éphémères montés dans les Vosges. A l’instant de commencer une vraie histoire, Julie Carbonare met le cap sur Nancy. Formée dans la lutherie, elle trouve à s’embaucher dans un magasin spécialisé de la ville.
Parallèlement, elle écrit, compose, souvent avec la complicité de son frère Antoine. Le répertoire se monte aujourd’hui à une trentaine de chansons… « engagées » comme elle tient à le souligner. Les sujets ne manquent pas dans une société où les différences sont aussi marquées que cruelles.

Un disque est en projet, l’entrée en studio programmée avec l’espoir de trouver un label. « De toute façon, il sortira avant la fin de l’année ».

Comme demain soir sur la scène du Vertigo, Julie Carbonare l’enregistrera avec son trio électrique, cordes, basse, batterie. Elle se partagera entre le piano et sa guitare, les deux instruments avec lesquels elle a « grandi ». « Cette formule est plus enlevée, plus rock. Pour les petites salles, je me produis en duo avec une ambiance tirant vers le folk ».

La guitare de Keith Richards

Elle a déjà pas mal tourné, dans les Vosges surtout. Le récital prévu mercredi au Vertigo dans le cadre des « Diagonales » culturelles est le quatrième qu’elle va y donner.

Elle parle des musiques ayant marqué sa jeunesse, des expressions tranchées que sa maman écoutait puisqu’il s’agissait des Who, de Police et, bien sûr, de Thiéfaine. Ses goûts, donc influences, la poussent quant à elle vers Sherryl Crow, Alanis Morrissette.

Julie n’a pas complètement tourné la page lutherie. Après les violons, ce sont les guitares qui ont sa faveur. Elle aime réaliser les copies de « bonnes vieilles » pièces de collection et a, pour un collègue fan des Stones, réalisé une  copie conforme de celle de Keith Richards.

Le concert de demain échappera à l’ordinaire, pas seulement parce que la recette sera reversée au Sidaction.

Un autre concert est à l’affiche, celui que vont donner les Bisontins de Unfake Shaton. Eux ont déjà réalisé un CD à dominante pop. Parmi les membres figure Charlotte Carbonare… la fille de Tony qui, elle aussi, s’inscrit dans une grande tradition familiale.

Jean-Paul GERMONVILLE

(Voilà un monsieur avec qui j’aimerais discuter longuement un jour : il semble aimer Thiéfaine, tous les articles qu’il a faits sur lui jusqu’à présent ont été très élogieux, c’est lui encore qui a interviewé, il y a environ un an, Jean Théfaine lorsqu’il était venu présenter Jours d’orage à la FNAC de Nancy. Un type bien, quoi !!!)

 

Julie Carbonare

La pensée du jour : "Nous étions des enfants, alors - aujourd'hui des hommes faits, - demain... la vieillesse, - après-demain, mourir", Pierre LOTI. Ce que j'aime chez Pierre Loti, ce qui m'a fascinée en lui lorsque je me suis intéressée (il y a quelques mois) à son oeuvre et à sa vie, c'est cette volonté de retenir les êtres et les choses, cette nostalgie qui plane sur presque chacune de ses phrases. Une belle âme, je trouve! En ce moment, je ne peux lire que Pierre Loti, tout le reste me semble insipide!!!

 

Ce matin, quand même, j'ai pris le temps de feuilleter vaguement le journal, et quelle ne fut pas ma surprise lorsque j'ai lu ce titre : "Dans la famille Carbonare : Julie"! Je cite le début de l'article :

"D'abord Alain, le père, luthier réputé sur la place de Mirecourt. L'oncle, ensuite, longtemps manager d'Hubert-Félix Thiéfaine après l'avoir accompagné à ses débuts avec Machin".

Plus loin, dans l'article, on peut lire que Julie Carbonare a été bercée, lorsqu'elle était jeune, par les Who, Police et ... Thiéfaine!
La demoiselle sera en concert demain à Nancy. Pour six euros! Je pense y aller et vous en toucher un mot!!!

 

 

23/03/2007

Tombé du ciel

Ce soir, ne manquez sous aucun prétexte le concert du grand Jacques sur France Inter! C'est en ce moment, et jusqu'à 23 heures.

 

Dans ma précipitation, tout à l'heure, j'ai oublié la pensée du jour. Peu de temps après, en lisant un commentaire de Dadet (Fred 06), j'ai vu que cette "rubrique" pouvait paraître sympathique à certains, alors j'ajoute :

"J'aime les êtres blessés, griffés par-ci par-là d'une ride imperceptible. Cela prouve, du moins, qu'ils sont susceptibles d'écoper d'une blessure. Elle n'est pas offerte à tout le monde, la faculté de saigner", René FALLET.

 

Tiens, Higelin est en train de parler de sa fille! Je craque! Je me disais dernièrement que je connaissais beaucoup de chansons que des papas avaient écrites pour leurs enfants, mais très peu de chansons écrites par des mamans. Pouvez-vous m'en citer? Côté hommes, je pense à Thiéfaine, bien sûr, à Higelin, donc, à Renaud, Gainsbourg, Eddy Mitchell, Frédérik Mey (ou Reinhard Mey, cela dépend de quel point de vue on se place!!!), Caussimon, Aubert. Côté femmes, à part "Ma chouette" de Lynda Lemay, ben, je ne vois pas!!!

 

Et voilà "Amor doloroso"! MAGNIFIQUE!! Clin d'oeil à Evadné qui, elle aussi, adore Higelin!!

 

Fin du concert, me revoilà. Et, dites donc, le père Higelin tourne avec ... Yann Péchin et ... Christopher Board!!!!